Qu'est-ce que l'univers ? pourquoi l'Homme est il ? l'Homme est-il un animaux ? le temps passe-t-il comme le temps qui passe ? la sexualité a t-elle une connotation sexuelle? l'inconscient se manifeste -t-il de manière inconsciente ? les étrangers sont ils des étrangers lorsqu'ils sont à l'étranger ? l'amour est il dans le pré ? la terre tourne-t-elle autour de l'univers ?

toutes ces questions jusqu'aujourd'hui sans réponses ont enfin trouvé leur clé de l'énigme. Lisez ce blog , a fantastique aventure in the heart* of the coeur de l'évolution humaine.

*en français dans le texte


Aujourd'hui, parlons un peu d'évolution car vous ne l'êtes pas beaucoup (évolué) et y'a encore du boulot ! alors plutôt que de passer vos jours fériés à regarder M6 ou d'aller à Leroy Merlin, lisez ce blog et essayez de gagner 10 % de QI gratis.



PRATIQUES BABYLONNIENES


Quand on pense que ces nanas moches se tapent les types qu'il y a plus bas ça fait froid dans le dos.

 



 

Dans chaque bourg, une fois par an, avait lieu cette cérémonie. On réunissait toutes les jeunes filles qui, cette année-là, étaient en âge de se marier, et on les introduisait ensemble en un même lieu ; autour d'elles se tenait debout une foule d'hommes. Un crieur les faisait lever l'une après l'autre, et les mettait en vente ; il commençait par la plus belle de toutes ; puis, quand celle-ci était vendue moyennant un gros prix, il en mettait aux enchères une autre, celle qui venait après par ordre de beauté. On les vendait pour être épousées. Les riches babyloniens en âge de se marier, surenchérissant les uns sur les autres, faisaient l'acquisition des plus jolies personnes ; les gens du peuple en âge de prendre femme, n'ayant que faire d'un extérieur agréable, prenaient, eux, des filles laides avec une somme d'argent. Car, lorsque le crieur avait fini de vendre les plus belles filles, il faisait lever la plus disgracieuse ou, s'il y en avait, une estropiée ; et il la mettait en adjudication, à qui acceptait de l'épouser en recevant la somme la plus modique, jusqu'à ce qu'elle fût attribuée à qui s'y engageait pour le moindre prix. L'argent, donc, provenait de la vente des jolies filles...(...) Il n'était pas permis à chacun de marier sa fille à qui il voulait..." .








Dans cette perspective, un système libéral très ouvert et organisé suivant un marché, une forme d'eugénisme privé fonctionne à plein : 
les meilleurs « types » de femmes étant sélectionnées par une élite se distinguant non pas par des qualités intrinsèques mais bien souvent par un pouvoir d'achat.




Le résultat est inévitablement le même : un contrôle sélectif du vivant s'organise par-delà l'apparente liberté des unions et de la reproduction, et la misère sexuelle est une conséquence directe du système en ce qu'il organise l'exclusion de certains individus prétendument non-assimilables où hors normes.



www.tranchesdunet.com/schemas-devolution-de-lhomme