Qu'est-ce que l'univers ? pourquoi l'Homme est il ? l'Homme est-il un animaux ? le temps passe-t-il comme le temps qui passe ? la sexualité a t-elle une connotation sexuelle? l'inconscient se manifeste -t-il de manière inconsciente ? les étrangers sont ils des étrangers lorsqu'ils sont à l'étranger ? l'amour est il dans le pré ? la terre tourne-t-elle autour de l'univers ?

toutes ces questions jusqu'aujourd'hui sans réponses ont enfin trouvé leur clé de l'énigme. Lisez ce blog , a fantastique aventure in the heart* of the coeur de l'évolution humaine.

*en français dans le texte


Aujourd'hui, parlons un peu d'évolution car vous ne l'êtes pas beaucoup (évolué) et y'a encore du boulot ! alors plutôt que de passer vos jours fériés à regarder M6 ou d'aller à Leroy Merlin, lisez ce blog et essayez de gagner 10 % de QI gratis.



DARWINISME SOCIAL



L'associationnisme  est une thèse philosophique concernant l'esprit et la connaissance. Fortement liée à l'empirisme, elle prétend expliquer par l'association des idées toutes les opérations intellectuelles, tous les principes de la raison et même tout l'ensemble de la vie mentale. David Hume comparait l'association des idées à la loi de l'attraction universelle découverte par Newton. Exemple :
 
La maîtresse interroge ses élèves afin de tester leur facon de raisonner. Pour ce faire, elle raconte une histoire a ses élèves :

"Il y a 12 oiseaux perchés sur un fil electrique, un chasseur passe par là et tire sur ces volatiles et en tue trois. Combien reste-t-il d'oiseaux ?

Alors là, un élève se lève et dit :
- Madame je sais moi!
- Quelle est ta réponse ?
- Ben y a plus car les autres se sont envolés à cause du bruit.
- Tu te trompes il en reste 9 mais j'aime bien ta façon de raisonner.

Bien sur l’élève est vexé, et demande a la maîtresse s'il peut lui poser une question.
- Voilà, Madame, il y a trois femmes assises sur un banc, la première croque une glace, la seconde lèche la glace et la troisième suce la glace, laquelle est mariée ?

Alors la la maitresse est plutôt confuse et dit :
- Enfin !
Mais elle finit par répondre :
- Ben c'est la troisième.

L’élève lui répond alors :
- C'est faux Madame, celle qui est mariée c'est celle qui porte une alliance mais j'aime beaucoup votre façon de raisonner...

Herbert Spencer a réformé et complété la philosophie de l'association en y introduisant les deux idées de l'évolution et de l'hérédité.
Il défend, dès 1857 (Progress, its law and causes), une philosophie évolutionniste. L'évolution est un passage graduel de l'homogène vers l'hétérogène et de l'incohérent vers le cohérent. Un phénomène évolue dans le sens d'une différenciation et d'une intégration (organisation) croissante.


Connu comme l'un des principaux défenseurs de la théorie de l'évolution, sa réputation à l'époque rivalisait avec celle de Charles Darwin. Darwin n'appréciait ni le personnage, ni ses idées. Spencer a imposé le terme d'« évolution » et est l'auteur de l'expression « sélection des plus aptes », qu'il mettait en rapport avec la sélection naturelle de Darwin. Il a notamment étudié l'extension de cette notion à des domaines comme la philosophie, la psychologie et la sociologie, dont il est reconnu comme l'un des fondateurs. Sa théorie fut appelée postérieurement « darwinisme social », ou encore « théorie organiciste ». Comme de nombreux auteurs avant et après lui, Spencer considérait la société comme un organisme vivant ou une supra-organisation. Ses recherches visaient à découvrir les lois d'évolution de la société en se basant sur celles des espèces. 



Sa pensée se construit ainsi selon des conceptions évolutionnistes et réductionnistes. Or, Darwin quand à lui use d'une conception dialectique. Spencer fait de l'histoire des sociétés une histoire de la nature. Pour lui, la société passe en plusieurs étapes d'un stade primitif où tout est homogène et simple à un stade élaboré, caractérisé par la spécificité, la différenciation, l'hétérogénéité.

Son ouvrage le plus connu, Le Droit d'ignorer l'État, publié en 1850, formulation classique du droit de se passer des services de l'État et, donc, du droit de sécession individuelle qu'il légitime lorsque la puissance gouvernante abuse de son pouvoir. Spencer était alors un défenseur de l'État minimal (réduit donc strictement au maintien de la sécurité intérieure et extérieure, ainsi qu'il l'explique dès The Proper Sphere of Government en 1842). Comme John Locke, il défendait la contractualisation des relations entre individus et État. Pour lui, le gouvernement est un simple employé que chacun est libre de révoquer, sans que cela attente aux droits d'autrui.


sources : 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Herbert_Spencer

 http://www.tranchesdunet.com/evolution-humaine-la-suite/