Qu'est-ce que l'univers ? pourquoi l'Homme est il ? l'Homme est-il un animaux ? le temps passe-t-il comme le temps qui passe ? la sexualité a t-elle une connotation sexuelle? l'inconscient se manifeste -t-il de manière inconsciente ? les étrangers sont ils des étrangers lorsqu'ils sont à l'étranger ? l'amour est il dans le pré ? la terre tourne-t-elle autour de l'univers ?

toutes ces questions jusqu'aujourd'hui sans réponses ont enfin trouvé leur clé de l'énigme. Lisez ce blog , a fantastique aventure in the heart* of the coeur de l'évolution humaine.

*en français dans le texte


Aujourd'hui, parlons un peu d'évolution car vous ne l'êtes pas beaucoup (évolué) et y'a encore du boulot ! alors plutôt que de passer vos jours fériés à regarder M6 ou d'aller à Leroy Merlin, lisez ce blog et essayez de gagner 10 % de QI gratis.



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ELLES PREFERENT LES GROSSES MITES

PREFERENCES CONJUGALES






Les préférences conjugales de la mite femelle Utetheisa ornatix ont fait l’objet d’une étude d’un grand intérêt.






Ces insectes préfèrent s’accoupler à des mâles de grande taille, ce qui leur apporte des bénéfices tant phénotypiques que génétiques.

Bénéfices phénotypiques d’abord car la quantité de nutriments transmis par voie séminale est proportionnelle à la taille des géniteurs et conditionne la production d’oeufs.

Bénéfices génétiques ensuite car, la taille étant génétiquement déterminée, plus le géniteur est costaud, plus les fils le seront également, ce qui favorisera ceux-ci dans leur quête de femelles, et ainsi de suite.

Les effets cumulés de ces bénéfices sont substantiels ; il a été calculé que lorsqu’une femelle a le choix entre deux mâles dont la masse corporelle diffère de 10 %, le choix du plus massif lui permet d’avoir 25 % de plus de petits enfants. On sait que, chez la mite, la taille du mâle est un trait hérité des deux parents. Mais la préférence des femelles pour les mâles costauds est-elle transmise génétiquement, et selon quelles modalités ?

La préférence des femelles est génétiquement déterminée et transmise par le père, ce qui indique que le (ou les) gène(s) de préférence est (sont) situé(s) sur le chromosome sexuel Z hérité du père par les filles. Il est également montré que la préférence des femelles et le trait masculin en question (la taille corporelle) sont corrélés dans la mesure où les femelles dont les pères ont la plus grande taille sont celles qui ont le plus grand appétit pour des partenaires costauds.

Ces résultats sont prédits par la théorie de l’invasion protégée, selon laquelle les systèmes chromosomiques sexuels homogamétiques mâles (ZZ/ZW), que l’on rencontre chez les lépidoptères et les oiseaux, favorisent l’évolution de traits masculins marqués par une sélection sexuelle.
Cette théorie prédit que, parce que les allèles de préférence femelle situés sur le chromosome Z sont transmis à tous les fils qui ont le trait génétique du père plutôt qu’à une fraction d’entre eux, de tels allèles subissent une sélection positive et sont moins vulnérables à une perte de chance que ne le seraient des allèles autosomiques.


Les 8 hommes que préfèrent les femmes

LE MEDECIN, parce qu'il dit:
- "Enlevez vos vêtements!"

LE DENTISTE, parce qu'il dit:
- "Ouvrez bien grand!"

LE LIVREUR, parce qu'il dit:
- "Je vous la mets devant ou derrière?"

LE DECORATEUR, parce qu'il dit:
- "Une fois dedans, vous allez l'adorer."

L'AGENT DE CHANGE, parce qu'il dit:
- "Ca va grimper, fluctuer, et redescendre lentement."

LE BANQUIER, parce qu'il dit:
- "Si vous retirez trop vite, vous allez perdre tout l'intérêt."

LE REPARATEUR TELECOM, parce qu'il dit:
- "Vous voulez ça sur la table ou contre le mur?"

Et enfin LE CHASSEUR
parce qu'il pénètre dans le buisson, tire deux coups et mange ce qu'il a tiré...




 Anthropomorphistes s’abstenir…pourtant...


 
Sylvie Ayral, chercheure, a analysé 6 000 punitions infligées à des collégiens.

Résultat :


Plus de 80% des élèves punis au collège sont des garçons. Plus la transgression est grave, plus les garçons sont représentés. Loin d’atteindre leurs objectifs, les punitions sont contre-productives. Et renforcent les identités de genre et la domination masculine.

Les filles déclarent franchement qu’elles préfèrent les garçons qui sont sanctionnés : ce sont les rebelles, les durs, ils sont virils. Elles disent que les autres les ennuient : ce sont les intellos, les bouffons, ils sont trop sages.

Les filles aiment bien les garçons qui sont étiquetés comme dominants. C’est bien d’être regardée par un garçon dominant. Les filles composent un public, et ainsi encouragent les garçons. La sanction serait donc «une médaille de virilité» ?




 Une femme qui a réussi : elle a trouvé un homme viril
elle en est très fière, il lui a acheté un nouvel aspirateur




Au lieu de parler de tolérance zéro, on aurait tout intérêt à adoucir les choses. A se pencher sur les relations entre garçons et filles : faire des ateliers de parole, travailler sur une mixité active dès la maternelle, analyser comment les injures sont construites et former les enseignants pour cela. Sinon, cela continuera à pourrir le quotidien des classes et à reproduire une société dominée par les valeurs viriles.




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